Une expo photos de Pierre FAURE « Roms : un camp aux portes de Paris »

Pierre FAURE a photographié la précarité du quotidien d’une cinquantaine de familles roms originaires de la ville de Dorohoï, dans le nord-est de la Roumanie, installées sur un terrain vague d’île de France.

Roms FAURE_1

Ces personnes sont des migrants économiques : la dégradation des conditions de vie depuis vingt ans et l’absence de perspectives d’avenir les ont poussés à quitter la Roumanie.
Ils gagnent plus d’argent en France (récupération de ferraille, musiciens de rue, …) qu’en étant agriculteur là-bas, quitte à vivre dans des conditions matérielles plus difficiles qu’au pays.
Ce déplacement est envisagé comme un investissement. Comme pour tous les migrants, la priorité est de mettre de côté pour envoyer au pays avec lequel ils maintiennent des liens étroits et réguliers (Les allers-retours sont fréquents notamment au moment des fêtes).

Ce ne sont pas des nomades : en Roumanie ils vivent dans des maisons le plus souvent en milieu rural, mais en France, les expulsions des squats et bidonvilles les poussent à la mobilité.

Le fait de vivre tous regroupés sur un même terrain vague, dans un bidonville, n’est pas un idéal de vie mais le produit de la migration. C’est une manière de se mettre en sécurité et de faire jouer la solidarité entre les familles.

Vous accèderez à travers ce lien à la galerie de P. Faure

2 réflexions sur “Une expo photos de Pierre FAURE « Roms : un camp aux portes de Paris »

  1. La terre n’est-elle pas si grande pour que vous migriez! dit DIEU dans le CORAN. A qui appartient la terre? Il est évident comme le disait un célèbre homme politique français: « l’immigration en tant que telle ne pose point problème mais plutôt l’intégration. La France est un pays de droit, construit par des français bon teint avec l’idéal de vivre en paix chez eux. Dès lors il serait normal d’accepter ceux qui sont assimilés et respectent les traditions françaises. Et les français , qu’ils sachent que: rien n’est meilleur que chez soit. C’est la vie qui privilégie les uns et défavorise les autres. Faisons appelle à notre humanité, notre bon sens pour partager, communiquer mais aussi éviter de zapper ce qui ont juste besoin de bien manger, être instruits, bref, avoir le minimum pour vivre. Amnesty et toutes les associations seront toujours invités à se battre pour unir leurs moyens et contraindre les pouvoirs publics à prendre conscience qu’aucun bras n’est inutile pour la construction de la France. Il faut juste être hospitaliers!

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